Le Président du CÉSECÉM prend acte du non-lieu rendu dans l’affaire de la Chlordécone.
Il considère que cette décision de justice ne saurait en aucune façon être considérée comme définitive. Il apporte son soutien total à toutes les actions visant à épuiser les recours judiciaires afin que justice soit rendue.
Au-delà des instances judiciaires en cours et des moyens et possibilités ouverts par le plan Chlordécone IV, il insiste sur la nécessité de réparer le préjudice subi par les Martiniquais. Il s’associe à toutes les démarches inscrites dans le cadre légal et œuvrant en ce sens.