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Insertion professionnelle : le nouveau site web de la MilSud pour faciliter l’emploi des jeunes Martiniquais

L’équipe de communication de la Milsud veut gagner en visibilité et en efficacité./DRPar Jakeline Lebrun En Martinique, la Milsud fait sa révolution numérique. Créée en 2006 et active depuis 2007, la Mission locale du Sud s’adresse aujourd’hui aux plus de 6000 jeunes des douze communes du territoire Sud de l’île, âgés de 16 à 25 ans et sortis du système scolaire. Elle intervient autour de quatre axes principaux : l’emploi, la formation et l’orientation, l’accompagnement social et une offre de service à destination des entreprises qui recrutent des jeunes du territoire.Quotidiennement aux côtés des jeunes, les professionnels de la Mission locale évoluent dans un environnement en constante mutation et dans un contexte économique compliqué. Plus que jamais, les jeunes en difficulté ont besoin de l’accompagnement proposé par la structure. Pour répondre concrètement à ces besoins dans un environnement de plus en plus digitalisé, la Milsud a lancé en début d’année un tout nouveau site Internet : www.milsud.fr.L’objectif prioritaire est de favoriser les rencontres entre les jeunes, les recruteurs et les conseillers de la Mission locale Sud, pour un meilleur accès à l’emploi. Conçu pour être responsive (réactif), l’outil est consultable sur tout support. « Tout a été pensé pour que l’accès à l’information soit rapide et facile », assure Jimmy Farreaux, chargé de communication de la Milsud.Avec une interface adaptée à la charte graphique de la Mission locale du Sud, le jobboard (tableau d’offres d’emploi) a été réalisé avec l’aide de la société Pixell, expert en communication. Fonctionnalité majeure de ce nouveau site, « il permet aux jeunes inscrits à la Milsud de consulter les offres d’emploi disponibles et de déposer leur candidature directement en ligne », ajoute Jimmy Farreaux« L’outil intègre un graphisme et une navigation moderne. Il valorise des espaces dédiés aux jeunes et aux recruteurs, des informations sur l’offre de services et les actions de la Milsud », complète le chargé de communication. Comme il le rappelle, « la Milsud collabore avec une vingtaine de conseillers qui accompagnent les jeunes et cinq conseillers relation entreprise. Le contact et la relation humaine sont et resteront les pierres angulaires de notre approche auprès des jeunes ».Ce nouvel e-service qui complète l’offre de services de l’institution. « Depuis mars 2022, la Mission Locale du Sud a lancé son action de communication, résume Jimmy Farreaux. Elle se doit d’être facilement identifiable par son public, ses potentiels partenaires, les élus et décideurs locaux. Tout en rendant les jeunes acteurs de leur propre démarche, initiateurs d’activités. »www.milsud.fr
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Carrière d’Outre-mer : Romain Leatham

Tour d’horizon des métiers d’ultramarins, capables d’inspirer et encourager les nouvelles générations. Ce mois-ci : Romain Leatham, collaborateur parlementaire.
Je travaille pour l’intérêt général !
Romain Leatham, collaborateur parlementaire
Quel est votre parcours Romain Leatham ?
Enfant, je rêvais de devenir orthopédiste. Je me suis donc orienté vers un bac scientifique au lycée de Versailles, en Guadeloupe, afin de satisfaire ma “passion pour les os”. Mais, en classe de terminale, ma participation au concours de plaidoirie du mémorial de Caen m’a révélé une appétence pour le droit. À partir de là, j’ai commencé à m’intéresser à la défense d’autrui et à l’intérêt général, expression qui m’est chère aujourd’hui. Le bac en poche, je pars à l’Université de Lille pour étudier le droit en parcours droit européen. Après l’obtention de ma licence, je rejoins l’Université Panthéon-Sorbonne en master 1, puis l’Université Panthéon-Assas où je mène aujourd’hui ma thèse.
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Comment se passe le travail de collaborateur parlementaire ?
C’est un métier d’une grande variété, auprès du député, le collaborateur parlementaire est aussi bien un conseiller technique que politique. J’aide à l’élaboration des textes législatifs ; j’assure autant que possible le lien entre les administrés de la circonscription et le député et, lorsque cela est nécessaire, je l’accompagne dans ses déplacements. Cela m’aide à mieux m’imprégner des problématiques de terrain.
Le droit est-il la voie royale pour une carrière en politique ?
Le droit aide à mieux comprendre les mécanismes politiques entre les différentes institutions. Le droit est un allié, mais je n’irai pas jusqu’à dire qu’il est la voie à suivre par excellence. La politique, ce n’est pas que du droit. Aucune bonne politique ne peut se faire sans une vision d’envergure, une vision pluridisciplinaire. C’est la raison pour laquelle la politique est et doit être ouverte à tous les types de profils. C’est cela qui fait sa richesse.
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Jeunesses rurales : quand les intercommunalités passent à la vitesse supérieure

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Certaines intercos rurales innovent avec de véritables politiques intégrées en faveur des jeunesses, offrant des lieux de rencontre, soutenant des projets, accompagnant à la formation et l’emploi… Le tout non sans moyens humains et financiers.
« Beaucoup de décideurs ont une vision négative de la jeunesse », regrette Kamel Rarrbo, sociologue-consultant en politiques jeunesse et territoires. Pour certains élus locaux en effet, les jeunes, ce seraient avant tout le désœuvrement, des conduites à risques, des dégradations, etc. Est-ce pour ces raisons que, si à l’issue des fusions de la carte intercommunale, la compétence enfance et jeunesse a été reprise par les EPCI à 61 %, et partiellement à 39 % (1), le transfert ne concerne souvent que les accueils de loisirs sans hébergement (ALSH) ? Au regard, les politiques globales en faveur de la jeunesse (12-25 ans) s’avèrent « très inégalitaires entre les territoires », glisse Kamel Rarrbo.
Pourtant, selon ce dernier, « engager une politique jeunesse, c’est basculer dans une représentation plus positive et considérer la jeunesse d’abord comme une ressource ». Si on veut un avenir pour la ruralité, comment ignorer la jeunesse ? L’intercommunalité semble bien placée pourPour lire la totalité de cet article, abonnez-vous
Enquête sur la pratique d’activités physiques et sportives et la sédentarité à l’université

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Quelles sont les aspirations des jeunes en matière de travail ? – Cariforef Pays de la Loire

Sous l’effet de la crise sanitaire, le rapport au travail a radicalement changé, en particulier chez les jeunes. Quelles sont leurs attentes vis-à-vis du travail ? Quelles sont leurs envies, leurs ambitions ? Lors d’une visioconférence le 10 février, Jérémie Peltier, directeur général de la Fondation Jean-Jaurès, analysera les nouvelles aspirations des jeunes.L’effet de la crise sanitaireLa crise sanitaire a modifié nos modes de vivre, de consommer, de travailler. Elle a été un moment de réinvestissement de la sphère privée, de revalorisation du temps libre. Comment se répercute sur la jeune génération cette prise de distance par rapport au travail ? Quels en sont les impacts sur la motivation et le rapport à l’effort ? C’est à ces questions que Jérémie Peltier apportera des éléments de réponse.Leurs rapports au travailJérémie Peltier propose d’envisager le rapport des jeunes au travail dans sa diversité. Incontestablement, les jeunes ne veulent pas que le travail ait la même place dans leur vie que dans celle de leurs aînés. Ils souhaitent mieux maîtriser leur temps, au profit du temps libre.En parallèle, cette aspiration s’accompagne d’une recherche d’épanouissement au travail, passant par la possibilité de continuer à se former tout au long de sa vie mais aussi par l’autonomie et la reconnaissance du travail effectué.Leurs enviesQue cherchent les jeunes au travail ? Si de nouveaux critères ont fait leur apparition, la principale attente des jeunes vis-à-vis du travail reste d’avoir un poste bien payé (c’est le cas pour 43% des personnes interrogées dans le cadre de l’enquête menée par la Fondation Jean-Jaurès), devant le fait d’exercer une activité intéressante.Leurs ambitionsComment les jeunes se projettent dans l’avenir ? Quel est leur idéal de vie et leur idéal de réussite ? Fragilisée par la crise sanitaire, la jeune génération exprime aujourd’hui un fort besoin de stabilité et de sécurité.À l’opposé des idées reçues selon lesquelles les jeunes multiplient les expériences professionnelles à l’envi, 30 % des répondants à l’enquête s’imaginent rester au sein de la même entreprise autant que possible. La jeune génération souhaite s’investir et participer au sein de l’entreprise, dans une relation de long terme.En s’appuyant sur ses récentes publications « Les jeunes et l’entreprise : quatre enseignements » et « Grosse fatigue et épidémie de flemme : quand une partie des Français a mis les pouces » , Jérémie Peltier décryptera les aspirations des jeunes, nous invitant à repenser notre regard sur une génération fragilisée et en quête de sens.Jérémie Peltier est directeur général de la Fondation Jean-Jaurès. Il est également directeur de la collection « Suspension » aux Éditions de l’Aube, chroniqueur pour Marianne, et membre du Haut Conseil de la vie associative.Vous souhaitez participer ? Inscrivez-vous à la conférence en remplissant le formulaire.Informations pratiquesVendredi 10 févrierDe 10h à 11h30À distanceUn live tweet sera proposé le jour J pour suivre l’événement : #ConfEfopPDLCariforef des Pays de la Loire, janvier 2023
Voix des outre-mer : la Martiniquaise Axelle Rascar Moutoussamy âgée de 16 ans, remporte le « prix jeune talent »

Axelle Rascar Moutoussamy, jeune lycéenne de 16 ans, a remporté le « prix jeune talent », samedi 4 février 2023, lors de la finale nationale du concours la « Voix des Outre-mer » à l’opéra Bastille à Paris. La gagnante du concours général s’appelle Axelle Saint-Cirel, candidate d’Île de France et originaire de Guadeloupe.
Au collège Charles Péguy, lutter par le théâtre contre le harcèlement scolaire

REPORTAGE – Une dizaine d’élèves monte un spectacle pour sensibiliser à la lutte contre les violences entre élèves. Une initiative qui s’inscrit dans le cadre du programme national «Phare», de lutte contre le harcèlement.
Chlordécone : Victorin Lurel souhaite que le gouvernement accorde aux Guadeloupéens et aux Martiniquais de bénéficier du préjudice d’anxiété comme pour les victimes de l’amiante

. • ©Guadeloupe la 1ère C’est lors des questions au gouvernement que le sénateur Lurel a interrogé la Première Ministre en ce sens. Il a d’ailleurs regretté qu’Elisabeth Borne n’ait pas profité de sa question pour s’exprimer directement sur le sujet à l’adresse des populations des Antilles. C’est en effet le ministre délégué en charge des Outremer qui lui a reformulé la réponse déjà faite par le gouvernement à l’Assemblée. FJO. • Publié le 11 janvier 2023 à 15h57, mis à jour le 11 janvier 2023 à 16h04 Après avoir exposé les attendus et les arguments de son propos, le Sénateur Lurel, associant d’ailleurs à sa démarche les Sénatrices Conconne de la Martinique et Jasmin de la Guadeloupe, a tenu a posé quatre questions à la cheffe du gouvernement.
Entendez vous tout faire dans le respect du droit, pour que le Parquet rouvre ce dossier?
Êtes-vous prête à créer un fond d’indemnisation pour toutes les victimes ?
Êtes-vous prête à faire pour les victimes du chlordécone ce qui a été fait pour les victimes de l’amiante ?
Êtes-vous prête à renforcer l’action de l’Etat dans la recherche fondamentale dans la dépollution des eaux et des sols ?
Des questions directement adressées à Elisabeth Borne mais, en lieu et place de la Première Ministre, c’est Jean-François Carenco qui, après son intervention à l’Assemblée sur ce sujet, et avant sa prochaine arrivée à Fort de France pour aborder directement le sujet avec les élus de la Martinique, est à nouveau monté au créneau au Sénat.Exprimant alors un regret que ce ne soit pas la Première Ministre qui soit venue elle-même s’engager particulièrement en faveur des populations de la Guadeloupe et de la Martinique, Victorin Lurel a alors conclu en demandant pour les victimes du chlordécone le bénéfice du « préjudice d’anxiété » comme cela s’est fait pour celles de l’amiante.
Voir l’intégralité de l’intervention Question au Sénat de Victorin Lurel et réponse de Jean François Carenco • ©Sénat